Le camps de base est établi à l’hôtel dans le quartier de Bosque, la classe d’un coté, la récréation/piscine de l’autre. Même si Bôtiluth nous manque un peu, les enfants sont ravis, et en plus on peut regarder le DVD du samedi soir sur un grand écran de télé : trop bien!
Pour préparer notre apéro traditionnel, Papa, Thémis et Joshua vont au marché de la ville (nous y retournerons ensemble plus tard). Une fois encore, c’est une expérience que l’on adore.
Il y a un bruit incessant, entre les vendeurs qui rivalisent et les stands de musiques qui font vibrer le sol, sans compter les transporteurs qui déboulent dans les allées avec les chariots qui débordent en sifflant pour que l’on s’écarte!
Il y a les couleurs, partout, les fruits, les légumes, les épices, les vêtements, même les poussins y ont droit, ce qui aura beaucoup marqué Joshua! Les filles adorent et voudraient que l’on fasse la même choses à nos futurs poussins à la maison. Mais finalement, quand on leur explique que ça ne doit vraiment pas faire de bien aux pauvres petits, elles se ravisent et trouvent les petits poussins jaunes tout aussi mignons…
Et il y a les odeurs… Et là, il y a du bon et du moins bon! Le marché n’est pas touristique, il est authentique, et il est quotidien, alors, aux abords, les déchets s’entassent, se décomposent sous la chaleur écrasante, pendant que les chiens errants font leur repas au milieu. Passées ces premières effluves, dans les allées, c’est une succession de sensations beaucoup plus agréables : les épices, les mangues, les ananas, les grillades, les pâtisseries… Décidément, les marchés tiennent leurs promesses!
Pour se remettre des émotions et finir de se dépenser, il y a un petit parc de jeux où les enfants profitent des balançoires, tourniquet et autres toboggans.
Bravo de rester positif, même dans les déboires. Rehane,grâce à cet arrêt forcé, va devenir une championne de natation !bisous.
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