Le Grand Canyon, nous l’attaquons de bon matin et par la face nord: comme le dit Jo, «ça meule!». Et ce n’est rien de le dire, il a sorti la polaire en plus du t-shirt à manches longues… On vous laisse imaginer les couches successives pour Daphné! Après des kilomètres de désert, nous voilà dans la forêt Kaibab, où l’on retrouve les bisons et surtout des mule deer par dizaines.
Puis, d’un coup, la végétation plonge, dans une vallée immense. Effectivement, c’est «Ze» Grand Canyon: plus large et plus profond que ce que nous avions vu jusque là. Toujours avec ces dégradés de couleur et l’immensité du paysage: on en a le souffle coupé.
D’autant qu’un vent puissant et froid s’est levé, ce qui ajoute à l’effet vertigineux. On en connaît qui n’auraient pas pu atteindre le bout de nos balades, même avec quelques rambardes!
Nous apprécions le contraste entre la forêt assez dense et les pierres nues du canyon, qui permet de profiter encore une fois d’une faune pas très farouche. Les écureuils sont énormes, et les oiseaux nous offrent un spectacle passionnant. L’un d’eux nous a même fait une démonstration du saut de l’ange au bord de la falaise!
Enfin, avant de partir, nous trouvons enfin la solution à nos problèmes: une nouvelle expression pour remplacer «Wahou», désormais, ce sera: Walhalla!
La première fois que je l’ai vu j’ai pleuré. Très émotionnelle…
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Superbes photos du Grand Canyon !
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